Le dévouement à distance de florian

Madame,

J’ai beaucoup de mal à mettre de l’ordre dans mes idées. J’essaie de faire du tri pour ne pas Vous noyer de lecture. M’autoriseriez-Vous à Vous envoyer spontanément d’autres mails en suivant celui-ci ? Car, en effet, je relisais votre article « Tu DOIS le faire » concernant la confiance. Vous y signifiez que nous devons nous livrer pour que Vous puissiez nous cerner. Je suis passionné par le développement personnel. Passionné n’est peut-être pas le bon terme. Plus une vocation peut-être… je ne sais pas; de l’ordre de « l’inscrit à la naissance ». Et je vois apparaître un peu partout sur votre site cette idée de progression. J’y suis extrêmement sensible. J’aimerai fortement entamer/poursuivre cette démarche avec Vous. Avec votre permission, je souhaiterai continuer à me livrer.

Et… avant toute chose, sachez-le : avec ce que j’ai pu lire et échanger, il y a déjà un « avant » et un « après » Vous.

Pour aller au bout et pour comprendre également comment Vous fonctionnez (ou mieux dit, pour appréhender votre cadre en profondeur), pourriez-Vous me corriger s’il Vous plaît :

J’ai le sentiment que votre site est à lire à plusieurs vitesses. Vous alimentez ce magnifique « bébé » avec une justesse incroyable.

Tout d’abord, à chaque ouverture de page réapparait la mise en garde pour public averti. Donc, on ne peut rien lire « sans faire exprès ». Il faut le vouloir. C’est une remarquable illustration de respect pour les personnes qui ne sont pas de notre monde. Puis, lorsque Vous avez mis en ligne ma demande, Vous avez pris soin d’enlever mon prénom et ma ville. Puis, Vous remerciez régulièrement vos soumis et répondez à chaque commentaire. Vous me remerciez, moi, dans votre mail, pour mon cadeau et ma fidélité… bref, Vous ne faites pas que parler de respect. Vous l’incarnez à travers votre attitude et vos actes.

Ensuite, un message d’alerte s’affiche régulièrement pour ne pas copier vos photos. A ce propos, pas d’album; ce qui oblige à ressentir, à se référer à une essence, et non à fantasmer superficiellement sur un physique. Et cette impression qu’à chaque newletter, les articles qui apparaissent sont minutieusement choisis, comme pour cadrer, orienter, donner des pistes à vos adorateurs… De plus, la photo que Vous avez prise pour alimenter « Emue dans le Tarn » a fini elle aussi dans le mille. L’ensemble de votre site respire la Maîtrise; une Maîtrise extrêmement fine…

Encore, pas de contrat d’appartenance et de soumission attitrée pour laisser libre cours à l’évolution des personnes en diversifiant les rencontres; ce qui est un impondérable à l’enrichissement de l’expérience (au sens noble)… et une nouvelle marque d’un profond respect…

Et ne serait-ce pas l’adage des véritables Alphas ? Celles et ceux qui emploient leur propre pouvoir pour protéger, accompagner, faire grandir, garantir un monde plus harmonieux ?

Pardon… je me déverse ! Quand je disais que j’avais du mal à trier mes idées… Mais il est vrai que je reste pantois devant ce bijoux de communication… cette œuvre qu’est votre site.

Je me reprends. Tout ça pour dire que je souhaite aller au bout de mon cheminement. Et je suis convaincu de m’adresser à la bonne Personne. Vous êtes quelqu’un « d’à part »… n’est-ce pas ? Comment dit-on ? Surdouée ?

Et, en réponse à votre mail :

Une question qui me brûle les lèvres depuis que je Vous ai lue… quand Vous dites : « Je comprends tout à fait cette notion d’objet »… ça veut dire que je pourrais être admis ? Je veux dire, Vous seriez prête à étudier la possibilité de me recevoir ? De me transformer en repose-pieds pour de vrai ? J’ai bien noté qu’en club, cela serait pratique. Mais en séance avec Vous, est-ce qu’il se pourrait que cela soit envisageable ?

Concernant les sorties en club, j’avoue que j’ai du mal à réaliser. Cette idée m’a beaucoup remué. J’ai effacé plusieurs mails et ai dû faire une longue promenade avant de pouvoir me recentrer pour Vous écrire…
Être repose-pieds en public… me retrouver sous ma forme la plus vulnérable au milieu d’une foule… je pense que, bien au chaud entre vos mains, je pourrai m’en sentir capable. Mais si Vous veniez sérieusement à envisager cette situation, je Vous supplie de croire que ma propre vulnérabilité me dépasse. Je protège cette facette de moi tant que faire se peut car, lorsque je m’abandonne, lorsque je « passe de l’autre côté », je suis réellement incapable de me défendre, incapable de dire non. Je suis clairement en danger.

Par contre, à voir comme je suis « fan », il semblerait que Vous ayez déjà fait tomber nombre de défenses. Je peux Vous garantir que c’est inhabituel. A chaque pas vers Vous, ma confiance ne fait que croître. Donc, quoi qu’il en soit, je Vous suis. J’aimerai beaucoup grandir, éclore, au côté d’une Dame telle que Vous.  

Je viens de me relire. Je sais que j’ai tendance à charger mes mails en quantité. Si cela venait à Vous incommoder, je me ferai un devoir de synthétiser.

Enfin… Madame, merci. Merci de permettre cette fenêtre ouverte sur mon antre. Merci d’aborder ces aspects aussi simplement avec moi alors que j’en suis encore au stade où écrire « repose-pieds » m’écorche les doigts. Merci de me donner ce sentiment que mon rêve peut, peut-être, prendre forme; que ce n’est pas si compliqué; que c’est possible !

Mille mercis.

Je n’osai pas Vous le dire mais allons-y… j’ai eu les yeux humides plusieurs fois en Vous lisant. La dévotion est parfois presque conventionnelle pour s’adresser à une Maîtresse. Mais pas ici. J’espère que ces convenances n’enlèveront rien à l’expression de ma gratitude. Je ne sais pas si j’arriverai à Vous faire Vous rendre compte d’à quel point cette démarche est importante pour moi. Mais je m’y emploierai.
Donc…

Madame, puis-je Vous appeler « Maîtresse » ?
En toute humilité.

florian

 

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