Quand je te regarde
Aujourd’hui cette pluie ne cessera pas à Carcassonne… Nous arrivons dans mon donjon.
Je suis assise dans mon fauteuil et je m’égare un instant…
Ce que j’aime quand je te regarde, c’est de savoir que ton corps et ton esprit m’appartiennent. Savoir que tu as attendu cet instant depuis le moment où nous avons fixé son rendez-vous.
Maintenant tu es là, devant moi, dans le plus simple appareil. Tant de sentiments mêlés, mais l’essentiel est là : tu as confiance en moi. J’aime ce corps qui n’attend que de se sentir vivant. Chaque parcelle est à moi, je peux en user à ma guise.
J’ai envie de te griffer sur les flancs, te pincer les tétons avec mes ongles, tirer sur une corde fine attachée à un orteil. Je souri largement en sachant possible de t’accrocher des pinces sur la langue. Tes testicules seront lestés avec des chaînes car j’aime ce bruit lorsque tu bouges. La cire va ruisseler sur tes épaules, tes bras et ton torse. Mon fouet marquera ton dos de zébrures magnifiques. De mes mains, je caresserai tes fesses après que Mademoiselle Cravache se soit abattue violemment sur elles. J’aime voir cette boursouflure rouge donner du contraste à ta peau blanche. Si tu bouges trop à mon goût, c’est mon talon qui remettra ton pied en place, et si cela ne suffit pas : mon petit martinet viendra rétablir l’ordre sous la plante de tes pieds. Tel un cheval, tu lèveras un pied puis l’autre afin de recevoir ton châtiment. Je testerai ta volonté sur tes cuisses avec divers jouets très plaisants. Une fois cela terminé, tu viendras blottir ta tête sur ma cuisse avant de pouvoir te rhabiller.
Tu aimes celle que je suis car j’aime ce que je te fais.
Maîtresse Lisa Domin’ha.
Maîtresse,
Voilà encore un bel article qui ne fait que me donner d’autant plus hâte de me précipiter à vos pieds. Je m’impatiente, me languis, suis frustré.
Merci pour vos mots, Vous êtes exceptionnelle.
Bonsoir mon soumis,
Plus que quelques heures et tu seras là, à ta place.
A demain.
Ta Maîtresse, Lisa Domin’ha.