Lettre de soumis 11

soumis11soumis11-2 J’aurais pu, comme souvent, écrire sur cette séance très marquante. Pour cette première vrai séance dans mon donjon, je choisis de laisser le soumis marc être l’unique narrateur de ces instants partagés en cette belle journée de septembre, non loin de Carcassonne…

Bonsoir Maîtresse,
En réponse à votre demande,  je vous adresse mon compte-rendu sur cette première séance.
Tout d’abord votre arrivée… Je mets enfin un visage sur cette inconnue qui va me dominer durant 2h30. Je découvre un visage qui met en confiance, un regard déterminé et pétillant …
Nous arrivons au donjon, vous avez un dialogue rassurant qui dissipe rapidement mon stress.
Vous m’entreprenez alors : martinet et cravache…. sentir vos coups me plait. Soudain un coup de cravache se veut plus appuyé … il me laissera une jolie marque que je contemple ce soir avec plaisir.
Je dois avouer que j’aurais alors adoré recevoir encore plus de correction, subir plus de souffrance sous votre regard pervers. Bien évidemment, j’ai conscience que vous avez canalisé votre champ d’expression du fait de ma consigne de limiter les marques à « quelques jours » … j’aurais rêvé de vous dire « Ne vous mettez pas de contrainte, explorez mes limites ! »
Vous me placez vos pinces, avec doigté et expérience, je jubile quand vous les retirez …
Ensuite vous m’imposez une position sans équivoque. Je comprends que mon anus sera à vous. Rapidement et avec délicatesse, vous me détendez, vous introduisez 1 doigt, puis rapidement 2 ou 3, je ne sais pas, et je ne vous oppose aucune résistance.
J’insiste sur le fait que je vous ai trouvée très douée sur cette phase, effectuée avec douceur et fermeté.
Rapidement, je sens votre impatience, votre main se veut déterminée, vous introduisez vos 5 doigts et je vous sens pousser avec détermination.
Je sais à ce stade que je ne pourrai pas me soustraire. Mes fesses vous plaisent, et j’en suis ravi. J’ai alors conscience qu’il me faut être à la hauteur. Je fais alors mon maximum pour me détendre et vous laisser poursuivre à dessein.
Alors vous me travaillez un peu, et je vous sens encore plus impatiente. Je comprends que vous n’allez pas me travailler longuement pour me dilater. Je perçois que votre objectif est de rentrer votre main entière rapidement.
Votre main, alors bloquée dans son passage sur sa portion la plus large, se veut encore  plus déterminée, vous maintenez une pression vers l’avant avec fermeté. Je sais que vous voulez rentrer, je sais que vous allez rentrer. Nous le voulons tous les deux.
Je fais bien sûr mon maximum pour vous offrir ce fist. Je veux que vous rentriez en moi, que vous soyez en moi. Je ressens à ce moment une dilatation extrême, toutes mes chairs étirées à leur maximum. Vous poursuivez votre pression sans faille, et je vous cède. Votre main entre alors entièrement et remplit mon fondement.
Pour moi c’est l’extase. Je ne m’appartiens plus alors, je suis à vous, entièrement à votre merci, vous qui êtes dans cette partie si sensible de mon anatomie. J’ai l’impression que vous pourriez prendre mes entrailles, m’arracher le coeur.
Vous me travaillez alors légèrement, avec quelques allez-venues. Je suis au paradis. Bien sûr j’aurais aimé que ce moment dure encore et encore, et que vous poursuiviez un travail anal intense en répétant longuement vos entrées et sorties … A revivre encore plus intensément si vous le souhaitez…
Egalement, vous me faites découvrir les plaisirs de la cire que je ne connaissais pas vraiment. Merci pour cette initiation et cette délicatesse dans l’application.
Après cet épisode, vous m’attachez à la croix de Saint André pour mille tourments savourés avec délectation …
je soulignerai les moments forts …
Quelques belles claques aux fesses … huuummm….. j’aime vos mains … elles tombent parfaitement bien appuyées sur mon postérieur tendu pour vous plaire. J’aurais tant aimé une longue fessée qui me repousse dans mes limites … sujet à explorer là encore …
Vous me travaillez les testicules avec fermeté. Vous les attachez fermement, vous les  étirez, vous les frappez, les malaxez … ils sont alors à vous, et je ne m’appartiens plus
Lors de ces moments, quand ils sont fermement enserrés / écrasés dans vos mains, j’ai l’impression d’être totalement esclave, j’ai le sentiment d’appartenir tout entier, de vous appartenir. L’idée me plaît, le vivre me plait. Et le revivre me plairait. Je pourrais vous laisser aller jusqu’à m’évanouir j’en suis sûr.
Votre roulette explore mes zones sensibles, votre fouet appliqué délicatement se veut caressant, votre mini martinet s’abat sur ma verge gonflée et sur mes testicules devenus douloureux. Sensations difficiles, mais vous plaire est un bonheur indicible….
Votre étreinte finale se veut chaleureuse et réconfortante, et je ressens une sincère expression de plaisir partagé.
Tout au long de cette séance, je vous ai perçue pleinement actrice d’une pratique maîtrisée, soucieuse de ne pas laisser trop de marques, soucieuse de respecter « le contrat ».
Cadre rassurant, mais également frustrant, moi qui au fond aurait tant voulu que vous repoussiez mes limites. Bien sûr il nous faut un « contrat » défini par moi pour cela, et je le sais pleinement.
J’ai beaucoup apprécié votre regard bienveillant, votre sourire charmant, vos expressions de plaisir affichées, votre façon de parler, plaçant le cadre avec calme.
Je vous remercie beaucoup pour ce moment que j’ai au final trouvé trop court … mais les bonnes choses sont nécessairement éphémères…
Si vous me le permettez, j’aimerais également savoir brièvement  ce qui vous a plu ou non lors de cette séance, savoir si me revoir à l’occasion vous serait sympathique, savoir ce qu’il vous plairait alors d’explorer.
Je vous réitère mon admiration et mes remerciements, j’ai passé un excellent moment que je n’ai absolument pas vu passé, j’espère que ce fut partagé.
Veuillez recevoir, Maîtresse Lisa, l’expression de ma soumission dévouée.

marc