Maîtresse Lisa Domin'ha

La force d’yvan à mes pieds

Je t’ai eu plusieurs fois au téléphone car tu préfères parler plutôt qu’écrire. Nous avons rendez-vous ce lundi. Tu as hâte que cela arrive, moi aussi. À ne connaitre que ta voix, je ne t’imaginais pas aussi grand. Tu es un très bel homme, grand, athlétique. Tes muscles seront sûrement un avantage pour une longue et dure séance. Ce rendez-vous durera deux heures. Je te rejoins à l’adresse convenue. Il fait très chaud ce lundi à Carcassonne, surtout dans cet endroit sans climatisation !

Tu as un fantasme récurrent qui est le fist. Tu ne l’as jamais tenté et je sens que ce but demandera beaucoup de travail. Je veux en être sûre dès cet instant, je commence donc par cela. Je t’attache les chevilles et te place à quatre pattes. Un bondage de tes testicules assure un contrôle et une prise rapide.

Tu me dis que je suis très belle et que je peux faire ce que je veux de toi. Je suis ravie que tes réserves s’envolent à mon contact. Ma roulette t’explore intensément et réveille tes nerfs un à un. Je ne me prive pas, j’aime cela. Mon paddle vient alterner les assauts de ce godemichet rigide et à relief. Tu gardes en toi ce bel objet lorsque le martinet fouette ton dos, tes fesses, tes cuisses, tes testicules serrées y ont droit aussi ce qui te fait bondir. Ta respiration est toujours aussi forte, tu te laisses aller à quelques râles lorsque la force augmente. Je te détache et te relève. J’ai envie de voir la douleur dans tes yeux. Huit pinces sur la longueur de ton sexe. Une limite est repoussée lorsque tu supportes deux pinces sur tes tétons, aucun bruit n’est audible lorsque je tire dessus donc je m’amuse à les remettre pour les tordre avant qu’elles ne cèdent. Tu supportes, tu fais de ton mieux et j’aime ça, je suis fière de toi. Ma roulette s’attaque à ton bas-ventre et te surprend violemment. C’est amusant comme je ne supporte pas de voir des pieds bouger. Tu es donc corrigé pour cela, je t’ai demandé de rester immobile! Mademoiselle Cravache s’abat sur toi avec force et laisse des traces visibles instantanément, elles sont gonflées et nettes. Je ne peux résister à l’envie d’une jolie photo ainsi tu pourras les découvrir tout de suite également. J’ai « carte blanche » tu me l’as dit. Un pied maintient la barre d’écartement et t’empêche de bouger. Je déverse la cire sans retenue sur tes voutes plantaires. Ta réaction est instantanée, mon sourire l’est aussi. Ton dos recueillera un flot de cette cire violette. Tu te tords lorsque je me sers d’un grattoir pour la retirer. Cet objet fait de jolies et larges traces que j’accentue avec plaisir […] Je m’étends et je regarde. Je  t’autorise à te placer dans la position que tu souhaites bien que j’aie laissé tes chevilles attachées à la barre. Tu as pour seule consigne de m’embrasser les pieds. Tu sembles apprécier cela et t’exécutes rapidement. J’aime ce moment calme où tu prends soin de t’appliquer. Je te regarde faire, quelques fois tu t’essaies à me regarder furtivement puis tu baisses vite les yeux et reprends de plus belle.

J’ai beaucoup apprécié cette première séance avec toi, je pense déjà à la suivante. J’attendrai donc que tu en fasses la demande… prochainement.

Maîtresse Lisa Domin’ha.