La motivation de christophe le futur soumis

Permettez-moi, Madame, de Vous présenter mes hommages, en espérant Vous plaire, Vous servir, Vous adorer… Je Vous ai déjà écrit, mais je sens combien j’ai été médiocre dans ces deux premières tentatives, aussi vais-je essayer de me rattraper. Je m’appelle Christophe, j’ai 45 ans, et j’habite à Toulouse.

Je dois bien l’admettre, Vous avez sur moi l’effet d’un révélateur. Peut-être est-ce Votre belle voix, ou encore le trouble que Vos photos provoquent en moi, ou peut-être est-ce juste moi… D’avoir envisagé de Vous écrire, de venir parcourir Votre site pour y découvrir Votre univers, de lire ces pages et finalement de Vous écrire et oser Vous appeler, m’ont donné l’envie d’explorer, toujours un peu plus, les champs des possibles.

Je n’avais envisagé au départ que peu de ces délices que j’avais pu lire sur Vos pages. Et pourtant, si je fais fi des conventions, de ma vie au grand jour, et que j’écoute plus attentivement mes envies, mes désirs enfouis profondément, comme sous une épaisse couche de faux semblant, j’en viens à désirer ce qu’avant je refusais. Oh, je sais combien le faussé entre rêves et réalité peut être élargi, mais j’ai pris du plaisir à imaginer ces moments, ces réjouissances, en espérant les vivre un jour.

De ma vie de tous les jours, de ma vie professionnelle surtout, j’ai pris l’habitude de diriger des équipes, femmes et hommes. Aussi ai-je été plus que surpris la première fois où je me suis imaginé à Vos pieds, nu comme un ver, d’y trouver une intense excitation. Un étrange mélange de sentiments m’a alors envahi: des sentiments rassurants, niché que j’étais sous La déesse protectrice, prêt à bondir de joie et recevoir une tape d’affection d’une main tendue vers moi; d’autres presque mystiques, en vénération devant Vous, à Vos pieds, belle déesse en tenue, cet idéal que je sais ne jamais pouvoir atteindre, mais dont j’adore déjà chaque parcelle, chaque effet, même le plus intime; d’autres enfin plus inquiétants, redoutant le courroux de la déesse déçue par son adorateur, son laquais, par ma propre médiocrité révélée malgré moi, malgré mes efforts. De ces sentiments mélangés, presque confusément, j’ai tiré des envies, des désirs inavouables, tour à tour de punitions, de récompenses ou d’adoration, dont je n’ose ici faire étalage… Au point d’ailleurs, de ne plus savoir distinguer ni la punition de la récompense, ni la récompense de la simple adoration, ni même encore, la punition de l’expiation par adoration.

Au final, il y a assez peu de choses que je refuse: tout ce qui perce ou qui marque trop longtemps, puisque je souhaite rester discret sur cette inclination. Il est possible qu’il me soit donné un jour de Vous laisser le plaisir de me marquer, mais je ne sais ni quand, ni si ce jour pourra correspondre à une séance avec vous Madame. Je me sais novice et ne sais trop jusqu’où je serai capable d’aller sous Vos ordres, Vos fessées, ou les caresses de votre fidèle amie, Mademoiselle cravache… Mais depuis que je vous ai entendu au téléphone, je ne peux m’empêcher de désirer ardemment Vous être soumis, le plus totalement qu’il me sera possible.

Oui, je Vous rêve en déesse, vêtue et chaussée superbement. Devant Vous, je veux déposer les armes, à éprouver certaines honte, être dressée et me soumettre. Toujours attentif, Vous obéir, Vous servie, au point même d’offrir mon corps sous Vos pieds nus…

Adulant la gent féminine, je suis en adoration de tout ce qui émane de votre sexe, au sens figuré autant qu’au sens le plus littéral. Pour Vous plaire, je serai ravi de revêtir la tenue que Vous me choisirez: nu comme un ver ou sous la douce caresse de vêtements féminins.

Je ne pourrai Vous refuser de m’ouvrir à Vos pénétrations et à Vos coups de rein, comme pour expier les fautes de ceux de mes congénères qui Vous auront manqué de dévotion… Je sais que Vous Vous amuserez de mon petit vermisseau, de tant de façons, douces ou non, contraignantes peut être. Vous en ferez sans doute de même de ma petite « chatte » déjà déflorée. Et je sais qu’entre Vos mains, quoique bienveillantes, je ne suis que Votre jouet.

Je ferai tout pour Vous plaire, Madame, avec application, baisant avec autant d’ardeur, Vos pieds, Vos bas, Votre lingerie ou que sais-je encore, pourvu que cela vienne de vous… Je veux obéir à Vos ordre, que ce soit pour vous offrir le jaillissement le plus intime de moi-même ou pour endurer la frustration. Espérant en silence que Vous m’accordiez l’honneur immense d’être le réceptacle de Votre onde dorée.

Je ferai de mon mieux pour ne pas Vous déplaire, et surtout de ne pas Vous offenser, craignant Votre courroux. J’imagine déjà combien Vos mains enflammeront mes fesses, combien d’autres jouets et liens Vous saurez manier pour me punir de ma médiocrité: me faire rougir, envahir ma bouche ou m’ouvrir… Mai est-ce pour me punir, ou simplement pour Votre bon plaisir? Et si, secrètement, cela devenait le mien également…

Au plaisir de Vous servir, Madame, je Vous assure de tout mon respect, de mon désir de Vous livrer mon obéissance.