Histoire de menottes

 


Par cette belle soirée d’été, les menottes sont en métal : froides, largement fermées à ta taille. Mon soumis t’installe dans la voiture, te bande les yeux et nous partons. Tu as pris la parole sans mon autorisation pour me faire remarquer qu’elles n’étaient pas très serrées… Grosse erreur de ta part !

Arrivés à l’endroit choisi : dans l’Hérault à Béziers, jolie ville. Tu me suis, guidée par mon soumis, nous montons les escaliers. Dans la lumière tamisée je te scrute, tu es un très beau travesti, je sais que ta transformation pour ce soir t’a pris du temps. Tu es très belle, tenue soignée, maquillage impeccable, chaussures à faire baver bon nombre de mes soumis fétichistes…

Mon soumis est placé dans un coin à genoux, il sera muet et immobile pour le moment.

Les mains sur la tête, tu as encore les menottes. Je me saisis de ma roulette et la passe fermement sous tes aisselles, tes bras veulent redescendre mais ton cerveau sait que je ne le tolèrerai pas. Tu tires donc sur tes menottes pour baisser les épaules quand tu grimaces de douleur. Je me demande un instant si la grimace vient de la roulette ou des menottes lorsque mon regard se pose sur tes poignets le doute n’existe plus : les menottes font leur travail. Je te demande si les menottes sont douloureuses, tu me réponds que oui, que tu souffres beaucoup. Je t’informe donc qu’il était tout à fait préférable qu’elles ne soient pas trop serrées, que la douleur ne vient qu’au moment que j’aurai choisi et que si tu ne bouges pas, elles ne te feront pas mal. Après tout, c’est toi qui t’inflige cette douleur toute seule en tirant dessus, et cela m’amuse beaucoup !

Mais si les menottes font plus mal que ma roulette c’est peut-être que je n’ai été assez ferme sous tes bras ?

Je te retire tes chaussures, je fais plaisir à mon soumis en lui permettant de les nettoyer, il n’a pas le droit de parler donc il aura assez de salive. La barre d’écartement en place je reprends ma roulette, serait-ce possible qu’elle ne fonctionne plus ? Elle recommence de plus belle ses assauts et tu laisses échapper quelques délicieux gémissements. Tes genoux se plient lorsqu’elle descend sur tes flancs, et tes bras finissent par tomber au bout de très longues minutes. Je suis très fière de toi, ton corps perlé de sueur montre ta détermination, tu es essoufflée de cette longue punition. Tes poignets te font vraiment souffrir, je les libère et les masse un instant. Tes chaussures sont propres, mon soumis les posent et sur mon ordre, il va te chercher de quoi boire, une belle gamelle d’eau est à ta portée. Je te laisse quelques minutes de répit.

Tu es à quatre pattes devant ta gamelle, la barre d’écartement toujours en place et le cul offert, dans un rapide mouvement je place un jolie plug « queue de renard », il te va très bien ! Ta jupe « tutu » et tes bas te vont tellement bien que je veux te voir bouger, j’accroche une laisse à ton collier. Les menottes sont placées à mon soumis, les mains dans le dos. Il te promène dans la pièce : toi et ton allure de chienne avec la barre aux chevilles et lui à genoux, la laisse dans la gueule. Il tire sur ta laisse pour te faire changer de direction et vous êtes superbes tous les deux, c’est un régal de vous voir ensemble. Je vous enverrai les photos dans quelques jours pour vous rappeler ce beau moment partagé durant la soirée […]

Maîtresse Lisa Domin’ha.