samedi c’est garden party !
Deuxième round aujourd’hui. Il y aura certainement peu de monde, nous partons donc un peu plus tard, pour arriver pour la soirée. La fatigue de la veille se fait quand même un peu sentir. Le trajet se fera dans le silence, Vous permettant un peu de repos.
Lorsque nous arrivons, il y a effectivement peu de personnes et nous vaquons à nos discussions respectives.
L’apéritif et la paella sont en préparation, je quitte le barnum et viens à l’extérieur. C’est en fait une position où je pourrai être à la fois attentif à Vos besoins et Vous servir l’apéritif dès que celui-ci sera prêt. Mais j’ai quitté le groupe et me retrouve seul. Vous me le faites remarquer et m’invitez à venir m’asseoir à Votre « table ». À genoux en face de Vous pour commencer, assis par la suite, mais toujours en dessous, leçon apprise. Le moment est très sympa. Je vous sers un verre, les plats sont déjà sur la table.
KD se joint à nous et je suis heureux de le revoir, même si je le connais peu, c’est quelqu’un que j’apprécie.
La paella arrive mais quelqu’un vous a déjà servi. En désaccord sur la température de l’assiette, vous décidez de la tester sur mon dos. À quatre pattes, le tee-shirt relevé, les marques du fouet de la veille sont bien là. C’est tiède au début, un peu plus brûlant par la suite, mais cela reste supportable. Vous ayant dit que ce n’était finalement pas très chaud, Vous me laissez dans cette position un petit moment avant de récupérer Votre plat. Mon tatouage a été remarqué, Vous me le faites montrer, mais je reçois une tape sur la tête.
« Tu aurais pu le refaire quand même !!! »
Il s’était en partie effacé…
« Pardon Maîtresse ».
Le dessert et les cafés sont là. je fais le service, et apprécie le compliment indirect que Vous faites.
Nous n’avons pas vu le temps passer. J’ai beaucoup apprécié ces moments.
Il est l’heure de jouer. Vous m’installez dehors, penché sur un meuble. Vous corrigez la position de mes pieds. Il va y avoir de la cire, je le sais depuis hier, mais Vous avez aussi pris cravache et fouets…Vous me dites que je devrai vous donner mon opinion sur cette cravache-là….Vous détaillez les marques que vous avez laissées hier, sur le dos bien sûr, mais surtout les cuisses et les hanches.
« Ah oui, quand même… » lâchez Vous.
je porte effectivement de jolis hématomes bleus, quelques coupures rougissantes, des stries rosées. J’adore les voir, les sentir, simplement le savoir….
C’est une nouvelle bougie, à trois mèches, qui entre en jeu. La cire coule à flots, c’est parfois brûlant, c’est parfois douloureux, lorsqu’elle tombe sur les marques, mais ça ne dure pas. Je la sens se solidifier, craqueler par la suite. Vous alternez les déversements importants avec les coulées plus ciblées, venez passer Votre main sur le dos, caresser, enlever une partie refroidie pour laisser la place à une nouvelle dose de cire chaude. Parfois la sensation me surprend, m’attendant à Votre main et recevant du liquide brûlant. C’est un moment sensationnel, voluptueux, s’accordant très bien au calme de la nuit. Mais tout doit s’arrêter à un moment, Vous grattez ce qui est fixé sur mon dos, me demandez mon opinion sur cette bougie: mention très bien!!
Un peu plus tard, j’aurai droit à une dose supplémentaire sur les pieds.
Merci Maîtresse pour ce partage et ce moment.
Il va être temps de partir. Nettoyage et rangement des ustensiles, remise en tenue, nous saluons les dernières personnes encore présentes.
Nous rentrons comme à l’accoutumée, tard, fatigués, mais pour ma part avec une sensation de bien-être.
Je Vous laisse à Votre véhicule, rassemble Vos affaire. Quelques mots….que dire de plus? Profiter des derniers instants…ne pas penser aux suivants…
Votre soumis