Le jour de la punition de soumis carpette

Cravache

Début juin, journée ensoleillée à Carcassonne. Nous avons rendez-vous cet après-midi. Je t’ai demandé de te rendre dans un hôtel d’une zone industrielle. Ton GPS te guide tout proche mais finalement t’envoie à l’autre bout de la ville. Je t’attends donc au soleil, dans ma voiture. Dix minutes de retard, je souris encore. Vingt minutes de retard, je tente de ne pas m’énerver et me rassure en me disant que tu es sûrement tout proche. Tu arrives enfin après trente minutes de longue attente. Ton téléphone ne fonctionne plus ce qui explique que je n’ai pas pu te joindre. À ton arrivée, tu me demandes pardon, tu me montres ton téléphone pour preuve. Tu me dis que tu as eu peur que je sois partie à ton arrivée. Arrivé sur place, tu es en position, et je t’explique que commettre une erreur implique de subir une punition afin de la réparer. Lorsque je retire ton boxer tu me supplies de ne pas pratiquer d’insertion anale. Je vois la peur dans tes yeux et cela me fait rire car ce n’est vraiment pas ce que j’ai prévu. L’attente depuis un mois a été longue pour toi, je le sais mais tu dois être puni pour ton manque d’organisation. Ta peur est palpable, tu trembles lorsque je ligote tes testicules. Ta punition sera longue et douloureuse. L’allongement de tes bourses est dur pour toi mais tu le supportes quand même. Je suis assise sur ton dos, la cordelette enroulée autour de mes doigts et pendant que je te réprimande, la corde se tend, tes testicules s’allongent doucement. Pour te consoler, mon pied est au-dessus de ton épaule. […] Ma main libre te griffe le flan, ta peau cède aux passages de mes ongles. Mes gestes sont lents, je veux que cette punition soit la seule que je t’infligerai. Je sais que tu n’es pas maso et pas très résistant face à la douleur mais la réprimande n’est pas une partie de plaisir. Je suis sadique tu le sais, cependant je ne prends pas de plaisir lors de ces instants. La punition dans ce cadre-là n’est pas plaisante. Tu veux absolument que je te pardonne et tu fais preuve d’un grand sang froid et d’une grande résistance. […] Je pars en te laissant là, nettoyer la pièce. Ce rendez-vous n’a été agréable pour personne mais désormais je sais que ce genre d’erreur ne sera plus commis. Tu vas retenir cette leçon car comme je te l’ai dit, la suivante serait bien plus dure.

Maîtresse Lisa Domin’ha, dure mais juste.