Corps sous surveillance


Un premier contact timide sur un réseau social bien connu. Un premier rendez-vous non honoré mais compensé par une offrande appréciée. Puis nous parlons de l’organisation de notre prochaine entrevue. Rendez-vous prit, tu m’informes que je devrais être prudente car ton épouse ayant des doutes sur tes activités, elle a le réflexe chaque soir de te regarder avec attention pour chercher et trouver la preuve de tes mauvaises actions. J’ai encore quelques jours pour organiser cette séance malgré la contrainte imposée. Tu me rejoins sur le lieu de la séance aux abords de Toulouse. Je t’ouvre la porte et te signale ton retard. Tant pis pour toi au lieu d’une heure et demie avec moi, tu n’auras qu’une heure vingt ! Peut-être retiendras-tu la leçon, je ne suis pas à ta disposition.

Sous mes ordres, tu enlèves ton pantalon noir, tes chaussures et chaussettes, tu t’allonges par terre sur le dos, le carrelage froid te fait réagir. […] Tu as maintenant les jambes en l’air, serrées. Tu dois tenir cette position. En effet, c’est l’heure de ta punition ! Tu sais que je ne tolère pas la médiocrité et toute faute commise mérite une punition. Je prends mon petit martinet, 25 centimètres d’efficacité… qui te fouettent la plante des pieds pendant que tu comptes à voix haute. Vingt sous chaque pied, cela suffit à attendrir et à chauffer ta peau. Puis ce sont mes griffes qui se chargent de tes orteils, je les griffes, les pinces, les tords. Le dessus de tes pieds semble s’ennuyer…, je tire sur la peau pour y accrocher quelques pinces. Tu es très beau dans la douleur. Il est de plus en plus difficile de tenir cette position mais moi je l’aime bien, donc ça durera encore un petit peu.


Je m’amuse avec un bondage de chacun de tes orteils, les cordelettes font de jolies danses, elles sont bien serrées, c’est très beau. Tu as envie de bouger mais tes pieds sont désormais ligotés entre eux.

Tu me supplies d’en ressentir plus, d’avoir plus mal, que ce soit plus dur. Tes mots me plaisent et un soumis heureux fait toujours de moi une Maîtresse comblée. Nous allons donc augmenter la cadence. D’une main je saisie ma roulette, de l’autre ma fidèle Mademoiselle Cravache. Je le sais, ta femme n’ira pas sous tes pieds, dons ils sont à moi !! Un pied subit les pics qui se promènent et lorsque tu réagis à la douleur, l’autre pied est frappé par mon amie la douce Cravache. La cadence est rapide et j’alterne d’un pied à l’autre. Tu gémis avec intensité, ta tête bascule d’un côté et de l’autre rapidement. Tu retiens des cris mais je ne m’arrête pas, tu sais que tu as toujours la possibilité de dire le SafeWord et de tout arrêter, sans cela tes plaintes sont comme une douce musique à mes oreilles… J’aime te voir subir autant, pour mon plaisir mais aussi et surtout pour le tien.
Je tire d’un coup sec sur cette guirlande de pinces. Puis sous cette terrible intensité, cette tension, cette excitation innommable, tu dis enfin le mot qui t’apporte instantanément l’apaisement. Je te détache rapidement et repose tes jambes sur le sol froid. Je t’apporte une couverture pour que tu te réchauffe. Je m’assoie près de toi et nous laissons ensemble toutes ces émotions redescendre dans ce long silence qui en dit beaucoup. […]

Maîtresse Lisa Domin’ha.