Le lointain poème de loïc

 

Maîtresse,

Le matin, quand le soleil se lève,
Je l’imagine caressais vos doux yeux,
Et caressait votre corps, jusqu’à vos divins pieds.

Le matin, je pense à vous, à votre voix si douce et si ferme,
Autoritaire et affirmée,
J’en tremble et je panique.
Mes pensées, toute la journée, jusqu’au sommeil, sont pour vous,
Je suis perturbé,
Mon esprit est si fragile, si faible quand je pense à vous.

Mon cœur s’accélère à chacune de mes pensées pour vous,
Mon sexe se raidit mollement à chaque fois que je relis nos conversations,
Vous êtes partout.
Psychologiquement, je faiblis, à en devenir une loque, une larve
Car mon amour pour vous est infini, à la limite du raisonnable.

Je vous aime infiniment Maîtresse Lisa, que j’espère un jour…