Les pinces au pays du Lauragais


 

J’aime les pinces, j’aime en mettre partout mais ça tu ne le sais pas encore lorsque tu arrives devant moi en cette belle journée ensoleillée de Novembre. Rendez-vous prit à Nailloux, nos autoroutes s’y rejoignent, ce sera parfait. Ces petites choses inoffensives au premier abord… En plastique, en métal, en bois… Pinces spécifiques, pinces à linge, pinces à cheveux (oui ! oui ! à cheveux)… Avec embouts de protection en plastique, en dents de crocodile… Sans parler de leurs nombreux coloris… On en ferait tout un roman ! Tu es donc devant moi, nu, droit et souriant, tu me dis que je suis belle ; je souris car j’apprécie ton compliment mais aussi car je me demande si tu seras encore si rieur lorsque tu seras mordu par mes petits jouets. Tu es motivé par la découverte de la douleur. Jusqu’à présent tes expériences avec d’autres n’ont pas tenues compte de ce paramètre. Avec moi, aujourd’hui, tu vas découvrir quelques sensations nouvelles. Pas de marques longues à faire disparaitre, juste assez de nuances pour que tu t’imprègnes, pour que ton esprit intègre cette notion de douleur voulue et surtout consentie. Je commence par attacher tes mains de chaque côté de ton collier. Tu devras garder tes jambes écartées, pas de barre d’écartement, je fais appel à ta discipline ; Mais si tu bouges alors attention à la sanction de Mademoiselle Cravache ! Je sors mes pinces, puis je me rapproche doucement, je cherche ma cible, je te scrute, ton corps en attente de ma création est à l’affût du moindre son, d’un indice… J’aime te voir ainsi ! Ta peau est froide, je la saisie fermement. Mon silence rajoute à ta surprise ! Mes gestes sont sûrs, parfois lents, parfois rapides, les pinces sont placées partout où mes yeux passent. Le pli de tes fesses, ton torse et leurs tétons, la peau de tes bras, tes testicules, ta langue, ton nombril, tes lèvres, ton sexe… Ma créativité n’a de limites que le nombre de pinces disponibles… Ta respiration s’accélère parfois, tu souffles pour gérer les assauts de mes jouets pourtant si gentils mais tu ne bouges pas, tu gères très bien cet exercice. Tes bourses et ton sexe ne sont presque plus visibles sous les pinces multicolores. J’ai fini. Tu es ma belle création, je suis fière de toi. Tu n’as pas beaucoup bougé, sans doute as-tu senti qu’il ne valait mieux pas… Tu ne mérites pas de punition : qu’il en soit ainsi ! Quelques photos plus tard, il est temps de passer un cap dans ton apprentissage de la douleur. C’est le sourire aux lèvres que je m’approche de toi, je prends les premières pinces que je retire délicatement : sensation curieuse, le mal et le bien en une fraction de seconde, un soulagement trahit par la réaction de ta peau. La récréation est terminée, je choisis au hasard de mon regard les suivantes. Je les retire juste en tirant dessus. Je pense que tu te réveilles enfin, la force tranquille qui se dégageait de toi a disparue, tu ne peux t’empêcher de bouger mais je n’arrête pas. Tes couilles s’étirent et tes jambes se plient comme pour empêcher l’inévitable. Immédiatement une claque sur ton sexe te rappelle que tu n’as pas mon autorisation pour bouger autant. Un moment de répit calme et doux te permet de reprendre tes esprits, tu ne dis pas le mot d’alerte, tu me dis même que tu veux continuer et aller plus loin. Je suis ravie de ton enthousiasme…L’ange sadique sourit en moi… Les pinces sur tes tétons sont toujours en place, une à une je les tourne sur elles-mêmes afin qu’elles se décrochent seules. Il en est de même pour celles qui suivent jusqu’à la dernière […] Une fois ce long et intense moment passé, je te détache, je te parle un moment pour t’exprimer mon contentement puis sur mon ordre tu te mets à genoux : ta peau a été étirée il faut la remettre, en place et l’ami Paddle sera parfait pour cela ! Doucement mais toujours sûrement je réveille ta peau engourdie. Je la touche, elle est chaude, elle m’appartient…

Maîtresse Lisa Domin’ha.