Le retard de nicolas d.

Fouet

Nous sommes mi-septembre, entre punition et frustration. Plusieurs appels dans l’après-midi pour m’avertir de ton retard. Tu es enfin arrivé. Je te rejoins.

Je me gare à ta hauteur. Lorsque tu sors de ton véhicule; à ce moment là commence la série de déceptions. Sans parler des une heure quinze de retard (car tu m’as averti), ta tenue vestimentaire n’est pas correcte, tu es au téléphone lorsque tu montes dans ma voiture. Lorsque tu raccroches j’ai enfin droit à un « Bonjour »!

– Ta tenue ne me convient pas, je ne suis pas ta copine! Tu auras dû raccrocher ton téléphone avant de monter dans ma voiture!

– Ok, j’irai m’acheter des fringues.

– Des vêtements!!

– Oui des vêtements. Mais je ne pensais pas être mal habillé.

– Cela me paraît évident!

– Si vous le dites.

Ce ton désinvolte ne me convient pas du tout. La suite du programme me paraît soudain bien plus sombre pour toi.

Les yeux bandés, tu seras privé de la vue de mes pieds, cela durera les 3/4 de notre entrevue. Chaque faute mérite châtiment, c’est donc le tien et tu l’acceptes. Les pieds suspendus tu es souvent gêné à essayer d’esquiver mes gestes. Aujourd’hui les pinces sont pour toi la découverte d’un supplice long et difficile. Tu nettoies mes pieds, cela me détend beaucoup, j’apprécie par moment de t’en enfoncer un dans la bouche. […] Je te surplombe et te surprend avec mon fouet d’équitation, il vient fouetter les pinces placées sur tes testicules. Tes mouvements me font sourire. Assise sur ton ventre, je suis bien placée pour te faire nettoyer les semelles de mes chaussures. La semelle compensée noir est poussiéreuse. Tu fais cela très bien. Dommage que tu sois dans le noir…

Mon moment de détente arrive et c’est à genoux que tu as le bonheur de découvrir enfin mes pieds avec tes yeux.

Tu as ordre de les masser, de me détendre mais tes gestes sont très rapide, trop même.

Encore une fois, te voici dans une position très peu confortable, lorsque tu me demandes l’autorisation de t’asseoir. Quelle drôle d’idée! Pourquoi t’aurais-je imposé une position si c’est pour t’en faire changer à la moindre demande? Il est évident que je le refuse. Au fil des minutes, tes gestes ralentissent, ils deviennent agréable.

Confortablement installée sur mon banc à fessées, j’apprécie tes efforts à me satisfaire. […]

Soumis nicolas, je te remercie de m’avoir choisie, d’avoir fait en sorte que ce moment soit devenu réalité. Pas à pas, avec moi, tu pourras évoluer sur le chemin de ta soumission. La route sera longue et demandera des efforts mais ta volonté ne fait aucun doute pour moi. Je te guiderai.

Maîtresse Lisa Domin’ha.